L’AMOUR PAILLARD

[A. Momas] L’Érotin
Un volume broché de 152 pages avec de nombreuses photographies hors-texte
Publié probablement par Louis Perceau, bibliophile érudit, ami d’Apollinaire, l’un des derniers et des meilleurs textes d’Alphonse Momas, célèbre auteur érotomane de la Belle Époque à qui l’on doit près d’une centaine de titres dont Le Mariage de Danielle et La Femme aux chiens. Deux éditions parurent au cours des années vingt, puis plus rien.
Ce texte truculent décrit les aventures d’une étrange troupe de théâtre ambulant composée des membres d’une maisonnette de banlieue, trois femmes, deux hommes : Thérèse, Léa, Lina, Antoine et Jacques. « Une famille exploitant simplement les plaisirs de l’amour dans leurs tableaux suggestifs », tableaux vivants présentés par Jacques, le montreur de plaisirs. Au hasard de leurs sulfureux contrats, ce beau monde se retrouve à fréquenter une étonnante maison de passe et de jeu, « où l’on pouvait trouver à se satisfaire dans toutes ses passions » qui n’a rien à envier aux clubs échangistes contemporains. Il ne faut pas s’étonner que par leurs activités, les membres de cette curieuse famille soient amenés faire de singulières rencontres.
Humour et scénarii composés de multiples intervenants infréquentables qui évoquent avec talent l’univers de Pierre Louÿs.

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L’AMOUR PAILLARD
[A. Momas] L’Érotin

Un volume broché de 152 pages avec de nombreuses photographies hors-texte
Publié probablement par Louis Perceau, bibliophile érudit, ami d’Apollinaire, l’un des derniers et des meilleurs textes d’Alphonse Momas, célèbre auteur érotomane de la Belle Époque à qui l’on doit près d’une centaine de titres dont Le Mariage de Danielle et La Femme aux chiens. Deux éditions parurent au cours des années vingt, puis plus rien.
Ce texte truculent décrit les aventures d’une étrange troupe de théâtre ambulant composée des membres d’une maisonnette de banlieue, trois femmes, deux hommes : Thérèse, Léa, Lina, Antoine et Jacques. « Une famille exploitant simplement les plaisirs de l’amour dans leurs tableaux suggestifs », tableaux vivants présentés par Jacques, le montreur de plaisirs. Au hasard de leurs sulfureux contrats, ce beau monde se retrouve à fréquenter une étonnante maison de passe et de jeu, « où l’on pouvait trouver à se satisfaire dans toutes ses passions » qui n’a rien à envier aux clubs échangistes contemporains. Il ne faut pas s’étonner que par leurs activités, les membres de cette curieuse famille soient amenés faire de singulières rencontres.
Humour et scénarii composés de multiples intervenants infréquentables qui évoquent avec talent l’univers de Pierre Louÿs.