LE CALVAIRE D’UN AMANT
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Alphonse Tissandier
Un des 300 exemplaires brochés de 176 pages (132 x 215). Le texte est accompagné de seize photographies d’époque et d’un frontispice illustré.
Oisif richissime, Philippe des Roches illustre toutefois l’adage « l’argent ne fait pas le bonheur ». Nul n’est avisé de la réalité de sa vie amoureuse qu’il tient jalousement cachée car, insatiable de sensations étranges, son seul but est de devenir l’esclave d’une femme… Or, comment satisfaire cette fascination sans n’avoir recours qu’à des professionnelles froides et distantes ?
Répondant à l’annonce « Dame seule demande élève très soumis pour leçons d’anglais. Écrire… », Des Roches rencontre Rose Delcamp. Cette jeune maîtresse, redoutable « dompteuse d’hommes » manie avec raffinement l’art de la domination, exploite avec subtilité les méandres du fétichisme et répond aux affres de l’amour avec une méthode toute singulière…
Paru en 1930, Le Calvaire d’un amant signe une œuvre délicate et troublante dans l’atmosphère lascive et perverse de la fin des Années folles.
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LE CALVAIRE D’UN AMANT
Alphonse Tissandier
Un des 300 exemplaires brochés de 176 pages (132 x 215). Le texte est accompagné de seize photographies d’époque et d’un frontispice illustré.
Oisif richissime, Philippe des Roches illustre toutefois l’adage « l’argent ne fait pas le bonheur ». Nul n’est avisé de la réalité de sa vie amoureuse qu’il tient jalousement cachée car, insatiable de sensations étranges, son seul but est de devenir l’esclave d’une femme… Or, comment satisfaire cette fascination sans n’avoir recours qu’à des professionnelles froides et distantes ?
Répondant à l’annonce « Dame seule demande élève très soumis pour leçons d’anglais. Écrire… », Des Roches rencontre Rose Delcamp. Cette jeune maîtresse, redoutable « dompteuse d’hommes » manie avec raffinement l’art de la domination, exploite avec subtilité les méandres du fétichisme et répond aux affres de l’amour avec une méthode toute singulière…
Paru en 1930, Le Calvaire d’un amant signe une œuvre délicate et troublante dans l’atmosphère lascive et perverse de la fin des Années folles.
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